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Travaux de traduction

Je ne fais pas qu'écrire et dessiner mes propres œuvres, je traduis aussi celles des autres. Ce fut même longtemps une activité centrale, et ma principale source de revenus.

 

Dans la période la plus récente, j'ai exercé mon métier de traducteur dans l'édition et la presse, généralement sous la signature d'Alexandre Freiszmuth. J'ai surtout traduit des livres de sciences humaines et quelques articles politiques. Parmi mes travaux facilement trouvables en librairie ou en bibliothèque, mes traductions pour L'Échappée.

Clifford D. Conner

Histoire populaire des sciences L'Échappée (2011)

Une histoire des sciences et techniques des origines à nos jours, rompant avec une certaine vision eurocentriste et élitiste, et redonnant leur place aux gens ordinaires et aux « petites mains »

dans la production du savoir.

Réédité au Seuil (Points Sciences) en avril 2014.

George A. Walker (éd.)

Gravures rebelles

L'Échappée (2008)

Quatre récits graphiques muets

(ce sont les textes de présentation

que j'ai traduits, ainsi que quelques légendes), tous réalisés en gravure

dans la première moitié du

XXe siècle et faisant montre

d'un certain engagement.

Auparavant, j'ai fait œuvre de traducteur dans le secteur associatif, d'abord comme salarié de Greenpeace, au début des années 2000, puis, vers le milieu de la décennie, en travailleur indépendant au service d'un plus grand nombre d'associations. Durant ces années, j'ai fait passer un nombre incalculable de textes d'anglais en français, sur divers sujets en lien avec l'écologie et la santé publique.

 

Bon nombre de mes traductions de cette période sont restées anonymes, ce que leur nature imposait plus ou moins : communiqués d'ONG, dossiers de presse, pétitions, etc. Il est tout de même possible de trouver encore sur la Toile certains rapports de cette époque me mentionnant comme traducteur, par exemple Industrie française et chimie durable (2005) ou Les ficelles de REACH (2007).

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